Et voilà ! toutes les photos de mon voyage sont en lignes :

http://epignolo.free.fr/bresil/index.html

Cette fois je suis à Paris.

Mon vol retour c'est bien passé avec presque une heure de retard au décollage et à l'heure à l'arrivée. Bravo les pilotes Air France. Par contre à l'arrivée à Roissy c'était comme si personne n'attendais l'avion. En dernière minute, l'avion c'est stationné au milieu des pistes, puis la passerelle pour descendre est arrivée au bout de 10 bonnes minutes.

Puis les bagages ils ont pris leur temps pour arriver également. Résultat entre atterissage et récupération de mon sac il c'est passé 1 heure.

Et voilà dernier jour au Brésil, enfin dernière matinée. Finalement le soleil a fini par gagner sur les nuages. Après avoir préparé mon et toutes mes affaires je suis retourné au Pain de Sucre. Il y a quelques nuages qui trainent, mais ça ne dérange pas pour faire des photos de Rio.

Une fois de plus en arrivant au sommet les nuages se font plus nobreux. J'ai quand meme pu faire mes photos de la plage de Copacabana entre nuages.

Puis je suis retourné à l'hotel pour prendre une douche et r´gler la note. Pour aller à l'aéroport il y a un bus qui passe une avenue plus loin, donc c'est cool car très facile. Enfin pas si facile que ça car le bus ne s'arrete pas malgré mes signes de la main comme on fait ici. Au bout du troisième qui n'a pas envi de s'arreter, alors je me jette au milieu de l'avenue en faisant des très très grand signe et il s'est arreté 50 metres plus loin car il roulait plein gaz !

Maintenant je suis à l'aéroport et mon sac à dos est enregistré, je vais donc aller passer l'immigration et attendre une heure avant l'embarquement.

Le Brésil, le pays de la tongue (Havaianas). Ok, on trouve partout dans le monde, mais ici tous les Brésiliens en on au moins une paire. C'est véritablement la chaussure nationale.

J'ai découvert aujourd'hui qu'il y avait plusieurs marques et notament une qui s'appelle Ipanema, comme la plage, mais pas forément plus cher. En tout cas pour moi il y avait ma pointure et la couleur que je voulais. Pas toujors facile vu la taille de mes pieds.

... Je monte jusqu'à Santa Theresa, et en fait je vais jusqu'au terminus, plus haut. Puis je redescent à pied jusqu'à mi chemin. La rue semble sur, il ya du monde et beaucoup de circulation. Les favelas sont sur les colines avoisinantes et contre bas, alors a priori pas de danger. Puis je reprend le Bondé pour revenir dans le centre.

De là je prends metro et bus pour aller jusqu'à la plage de Leblon, au sud de Rio. Puis je longe toute la plage de Lebon, puis d'Ipanema. C'est désert, il n'y a quasiment personne. Meme certains bar de plage sont fermés. La météo est pas bonne. C'est très nuageux et menace de pleuvoir à tout moment, mais il fait quand meme 24 degrès. Puis je bascule sur la plage de Copacabana. Entre les deux il y a un passage avec tous les magasins de surf et j'ai croisé une bonne dizaine de surfeurs pieds nus avec la planche sous le bras. Je ne pense pas que Rio soit connu comme un spot pour surfer, mais il y a quelques vagues interessante et suffisante pour pratiquer le surf de ce que j'ai pu voir samedi à Copacabana.

Sur la plage de Copacabana, il y a plus d'activité, c'est aussi plus touristique meme si c'est à Ipanema qu'il faut etre vu le week end. Cette fois j'ai pu faire ma photo avec les palmiers et le dessin de la promenade de Copacabana. Puis je vais dans les avenues paralleles à la plage pour aller faire du shopping. C'était le bon moment, car il s'est mis à pleuvoir. Pour finir l'après midi j'ai fait mon shopping de souvenirs et de cadeaux.

Journée chargée, car je veux faire beaucoup de chose pour rattrapper un peu le temps perdu et surtout dans un jour et demi, le Brésil c'est fini pour moi.

Donc je me suis levé un peu plus tot afin d'aller visiter le quartier de Centro, la partie de Rio ou il y a les buireaux. Centro est totalement mort le week end et il est meme recommandé de ne pas y aller, car tout est fermé. La vie se passe sur les plage et dans les quartiers résidentiels et de bord de mer. Avoir la chance d'etre à Rio de Janeiro le week end et en jour de semain permet de voir deux Rio complètement different. Aujourd'hui quand j'ai pris le metro, la plus part des gens étaient habillés de longs avec chaussures de ville pour les hommes et hauts talons pour les femmes. Les Havaianas (tongues) sont restées au placard. Hier dimanche le çetro était bondé de gens qui allaient à la plage, cematin ces memes gens allaient travailler.

J'ai donc fait un grand tour du Centre avec les contraste des restes du Rio colonial et les tours de béton et de verre. Il y a aussi la Cathédrale Métroplitana, un immense conne, peut-etre Rio a voulu rivaliser avec Brasilia dans l'architecture d'une cathédrale de fin du XXeme siècle. Puis il y a le Bondé, cet ancien tramway de Rio qui fonction toujours et qui monte dans les colines au dessus du Centre. Sur son trajet il y a de part et d'autre par moment des favelas. C'est très amusant et curieux à prendre, car c'est juste une petite voiture ou seulement 32 personnes peuvent s'assoir. Il n'y a pas de portes, c'set completement ouvert et les passagers ont l'habitude de s'accrocher sur le bord pour le prendre et donc de 32 passagers on peu atteindre parfois 60 personnes.

Dimanche jour de marché. Je vais donc dans un marché situé non loin du grand stade Maracana de Rio. En fait ce marché est là tous les week ends. On y trouve plutot des petits restaurants et de la nourriture. Finalement pas si interessant. Cela doit l'etre en y allant le soir pour se balader et y manger en meme temps. Il est dans un espece de grand stade et il y a un podium à chaque extrémité ou il y a des groupes qui jouent de la musique avec la sono au maximum.

Puis direction le Pain de Sucre. Un endroit incontournable à Rio. C'est un piton rocheux dans la baie de Rio avec la plage de Copacabana au Sud et le quartier de Botafolgo au nord. On y monte par deux téléphériques. Arrivé en haut du premier, un petit nuage est accroché au Pain de Sucre, mais arrivé en haut de celui-ci, catastrophe, les nuages défilent non stop et la vue vers le sud est quasiment impossible. Je décide d'attendre le temps qu'il faudra. Au bout d'une heure et demie, c'est devenu pire et la température a chuttée. Alors je décide de redscendre et peut-etre d'y revenir un autre jour, meme si la montée coue 10 euros. La vue y est superbe.

Puia je vais che Ricardo, car il a prévu me m'amener à Ipanema, l'autre grande plage de Rio, celle ou il faut etre vu en ce moment. On y part vers 17 heures ce qui fait que c'est un peu tard pour les photos et puis tout le monde est déjà revenu de la plage. à Ipanema on va dans un petit marché artisanal, peut etre j'y trouverai mes souvenirs et cadeaux à ramener. Et bien non, rien de ce que je veux. Puis on rejoint des amis à Ricardo pour boire un verre. Pour finir la journée on reviens chez Ricardo pour diner.

Me voilà de retour à Rio de Janeiro après trois semaines de voyage autour du Brésil. Comme je vais rester quatre jours à Rio, je vais commencer tranquillement. Après un petit déjeuner copieux, je commence par visiter le quartier. En face de l'hotel il y a le Palais de Catete qui était le palais présidentiel du temps ou Rio était le Capitale du Brésil. Depuis 1960 c'est un musée et le jardin est ouvert à tous comme jardin public. Puis je suis allé dans le quatier voisin, Gloria, pour visiter une petite église qui se trouve sur une coline. De là on a la vue sur les jardins et la plage de Flamengo.

Ensuite je reviens dans Catete et je prends le metro pour aller à Copacabana. Le quartier de Copacabana est tout en longueur entre la plage et la montagne. C'est un alignement d'immeubles. Sur la plage c'est exactememt comme on peut le voir sur les reportage sur Rio. Il y a la plage en bord de mer pour bronzer et se reposer, puis toujours sur le sable, les filets de volley-ball. Ensuite il y a la promenade avec l'incontournable graphisme en forme de vague noir et blanc sur le sol et pour finir avant la route il y a la piste pour les joggers et les cyclistes.

Il y a déjà beaucoup de monde, on est samedi, c'est donc le week end et il va y avoir beaucoup de monde. Les joggers se suivent les eux derrières les autres, les cyclistes se bousculent. Tout le monde est torse nu ou en maillot et le soleil frappe fort avec un indice UV maximum. A Copacabana il y a5 poste de surveillance et entre il y a toute une série de bars de plage dont certains on la chance détre à l'ombre de palmier. Sur le trottoir, des dizaines de vendeurs de tout et de rien, lunettes de soleil, T-shirt, serviette de plage, bijoux, glaces, brochette de crevette, etc.. meme des ceintures en cuir !

J'arrive à l'aéroport juste à l'heure pour mon vol. La circulation était plus que dense avec plein d'embouteillage. La file d'attente pour enregistrer les vols TAM est très longue. Impossible de faire la queue sinon je vais rater mon avion. Une personne de TAM croise mon chemin et je lui demande comment je fais. Elle me dit d'aller au comptoir d'enregistrement express, c'est à dire en gardant tous mes bagages avec moi dans l'avion. Pourquoi pas, mais assez agaçant de devoir garder mon gros sac à dos avec moi, car impossible d'aller au toilettes ou quoi que ce soit.

J'arrive à Rio de Janeiro avec un peu de retard et mon ami Ricardo et sa soeur Patricia `m'attendent. Ils me conduisent à mon hotel dans le centre de Rio, plus précisément dans le quartier de Catete.

Brasilia est la capitale du Br´sil depuis 1960. Cette ville n'a pas encore 50 ans et a étée batie sur un immese plateau au centre du Brésil. aujourd'hui plus de 2 millions d'habitants y vivent. Elle est classée au patrimoine mondial par l'UNESCO.

Initialement je n'avais pas envisagé venir à Brasilia, car c'est une ville essentiellemt administrative ou siège le gouvernement. Mais tous les vols entre Manaus et Rio font escales à Brasilia. Alors pourquoi ne pas s'y arreter une journée pour explorer son architecture un peu à part.

Apreès le petit déjeuner, je règle ma note. A la réception, les quelques hommes d'affaires qui sont là pour payer eux aussi, me regardent d'un drole d'air avec mon style routard propre sur lui qui pqie avec une carte American Express.

Je commence mon exploration par le mémorial du père de Brasilia, puis la tour de télévision, le quartier des ministères, le ministère des affaires étrangères, le Congrés, le tribunal et le palais présidentiel, sans oublier la cathédrale au passage. Tous ces batiments on une architecture très moderne pour ajourd'hui et encore plus il y a plus de 40 ans en arrière. La ville est immense et très aérée. Elle n'est pas faite du tout pour les piétons. Il n'est pas possible de vivre à Brasilia sans voiture. Les avenues sont immenses et les passages piétons rare. Alors les gens traversent les avenues à travers les voitures et c'est un sport par moment.

Toute la ville est organisée en quartier bien définis par leurs activités. Le plan d'urbanisme ressemble à un avion avec les ailes sud et nord ou on trouve les quartiers commerciaux, des hotels, des banques, etc et puis les immeubles d'habitation. Au centre une grande nervure verte. A la place du cokpit, les ministères et le gouvernement, au bord d'un immense lac artificiel.Tout fait rasilai d'une ville hors normes.

Au Bristol Hotel, qui se trouve dans le quartier des hotels, il y a de la place. Par contre ici les tarifs sont differents du reste de mon voyage. Le prix affiché est de R$ 180,00 et j'ai immédiatement une réduction de R$ 80,00. Il s'agit d'un 4 étoiles "à la brésilienne".J'ai attendu 10 minutes avant d'avoir un ascenseur et les garçons d'étage ont disparus. Finalement à l'arrivé de l'ascenseur un garçon d'étage apparait et me montre ma chambre, finalement il me propose de porter mon sac une fois qu'on est dans l'ascenseur, il aurait fallu y penser bien plus tot, c'est trop tard et pas de pourboire.

Forcément la chambre est Ok. Mais pour un 4 étoiles affiché, la connexion internet ne fonctionne plus, le mobilier dans la chambre a plutot vécu et d'autres détails font qu'onn est loin de se qu'un vrai 4 étoiles international offre.

Tout le monde a du mal à se lever. Il est 5 heures du matin passé. En quelques minutes on se prépare et très vite on part en foret. Le soleil n'est pas encore levé, mais il fait jour. Quand on rentre dans la foret la lumière est beaucoup plus sombre, mais on n'a pas besoin de lampe de poche. Tasan a encore prit sa machette. Notre première rencontre du matin sera une tarantule. Elle est plutot grosse. Elle est juste au pied d'un arbre, devant l'entrée de son terrier.

Puis, on continu de s'enfoncer dans la foret. Tasan est toujours aux aguets des bruits et de tout mouvement. Il faut rester alerte car on évolue dans un envireonnement dangeureux. Après une bonne heure de marche on fait un stop pour un petit déjeuner de fruits. Là, Tazan nous raconte la seule fois qu'il a croisé des panthéres noires dans la foret. Aussi il nous raconte deux histoires incroyable de serpent, de cobra mortel, qui sont arrivées au voisin du camp et à lui meme.

Sur notre route Tasan nous fait stoper net, à 2 mètres de lui il y a un cobra mortel. C'est un serpent de petite taille qui se confond sur le sol à travers les feuilles mortes. Autant Evelyne que moi on aurait rien vu et on y aurait marché dessus. Il ne vaut meme pas penser aux conséquences. Mort en moins de 5 minutes assuré.

Retour au camp au bout de 4 heures de marche. On prend un vrai petit déjeuner copieux. Puis séance baignade et relaxation sur la plage au bord de la rivière. Puis midi est déjà là et c'est l'heure du déjeuner. Tonio l'autre guide me dit qu'on partira de suite après le déjeuner.

On a repris le bateau avec le moteur pendant 45 minutes. Puis le bus pour Manaus. A la gare routière de Manaus le taxi de l'hotel nous attendait. Arrivée à l'hotel un peu avant 17 heures.

Je vais faire un tour du coté des docks afin de voir à quoi ça ressemble. Le couché de soleil s'annonce, mais il y a un orage à l'horizon. Sur ma route il y a le marché de Manaus. Le batiment est une reproduction en plus petit des anciennes Halles de Paris.

... Je lui dit que moi je souhaiteria voir au moins un piranha. Alors on change d'endroit sur la riviére et on va dans le coin des pirahnas. C'est à mon tour de pecher. J'en laisse filer trois. Il faut reconnaitre qu'il faut etre vif avec le fil de peche et tirere très fort pour ramener les poissons. L'hameçon est assez gros et un des trois piranhas l'a en parti cassé, ce devait etre un gros. Finalement la 4eme tentative est la bonne et j'en sort un. Dans la rivière Urubu on trouve les gros pirahnas blanc argentés avec toutes leurs dents. Une dentition complète est de 28 dents et la machoire est aussi grosse et parfois, que celle d'un chat. Puis Tasan a pris le relais et les sort les uns derrière les autres afin qu'il y en ai assez pour le diner.

On retourne au camp au couché de soleil juste passé. Un des responsables de l'agence nous a rejoint car c'est lui qui m'accopagnera pour mon retour à Manaus et les voisins du camp se joignent à nous. C'est un jour de fete. On me montre une technique pour manger mon demi pirahna grillé, car il a une belle ossature, la cher est assez neutre et bonne.

Le repas fini, la journée ne l'ai pas. On part avec Tasan à la recherche des aligators. Il fait nuit noire et nous voilà parti avec notre canoé. Cette fois Tasan c'est muni d'un long baton de bois. Avant de monter sur le bateau, il a bien regarder sur la plage du camp s'il n'y avait pas un aligator qui prenait l'air, comme ça l'heure arrive régulièrement. En route on croise deux anacondas. Avec Evelyne on n'a pas du tout vu le premier, mais très bien le second. Puis Tasan finit par trouver un aligator en moitié caché par un tronc d'arbre. Il mesure environ 1,50 ´mètres. Sur le chemin de retour on voit au loin des yeux (avec les lampes torche bien entendu).

J'ai pas trop bien dormi la nuit précédente. Meme si le bruit de la jungle est super, je dois reconnaitre que j'ai été attentif à trop de bruit inconnus et puis la fraicheur  du matin n'a pas aidée. Le petit déjeuner est copieux et la température commence à montée.

On part dans la foret comme prévu à 7 heures. Très vite on s'enfonce dans la jungle qui est dense. Tasan est parti avec une machette dont il va se servir rapidement pour faire le passage par endroit. D'une manière générale il y a déj{a des sentiers, plus ou moins tracés, mais la nature reprend vite le deçu. Notre guide nous explique les arbres et les places médicinales. Ils nous nomtrent quelques insectes sur notre passage, qu'on avaait bien entendu pas vu. Il converse avec certains oiseaux, si je peux dire car il sait les imiter. Pendant plus de 3 heures on a transpiré dur, car il fait chaud et très humide.

De retour au camp on va tout droit dans la rivière pour se rafraichir et on se détent un peu en attendant le déjeuner. Comme la veille le déjeuner est copieux, car il y a un peu de tout pour manger et largement trop. Puis c'est le moment d'une petite sieste avant l'activité de l'après-midi. Vers 15 heures on part pecher. On utilise un petit canoé avec chacun sa rame. Dans un premier temps on part pour pecher les gros poissons comme les appelle Tasan. En effet dans la rivière il y a des poissons qui peuvent atteindre la taille d'un metre. Tout ici est énorme et démuseré, rien à voir avec nos rivieres en France. La technique de peche est très minimaliste, un hameçon au bout d'un fil de peche et le tour est joué. Le premier essai est bon et il attrape un petit gros poisson, 20-30 cms environ. Puis on essai à plusieurs endroit, mais rien à faire.

... En arrivant on nous prépare le déjeuner, car tout , tout est compris dans le programme des 3 jours, départ-retour Manaus. Dans le mileiu de l'après-midi avant le couché de soleil on part faire un peu de canoé. Chacun une rame et en avant. On va sur quelques plages de la rivières voir si on ne trouve pas des aligators. Certains sont passé dans la journée, pas de chance pour nous rien. On reviens au camp et avant qu'il ne fasse noir c'est le premier bain dans la rivière qui est chaude. Puis on a le repas du soir accompagné par le bruit ambiant de la foret la nuit, c'est vraiment extraordinaire. La température était plus que supportable car ça c'est couvert dans l'après-midi. Tasan nous dit qu'il fait meme froid la nuit dans la foret et ce, toute l'année. Oui, mais froid comment ? 17-18 degrès entre 3 heures et 6 heures du matin.

Ici aussi on se couche très tot, car il n'y a rien à faire et en plus demain matin départ pour une marche dans la jungle à 7 heures, alors levé à 6 heures.

... Vers midi on a fait un stop dans une ville. Quelques passagers sont descendus et plein de marchands de tout et de rien sont montés pendant l'arret. Essentiellement des ados et certains sans rien dans les mains. Là, il faut surveiller ses affaires, car il devait y avoir du professionnel du vol. En ce qui me concerne j'avais mon petit sac à dos avec tout mon matériel photo-vidéo-son-téléphone avec moi et un oeil constant sur mon autre sac placé sous mon hammac.

Puis l'après-midi se passe avec longue sieste et lecture. Un petit tour au bard pour boire un coca histoire de s'occuper un peu. Les gamins du bateu sont toujours pas très loin, car ils veulent voir les phjotos que j'ai pris sur le bateau et celles du couché de soleil de la veille. En parlant de couché de soleil, voilà celui du jour qui se prépare. Devinez ! et oui madame la cantinière arrive pour sonner la cloche du repas du soir. Ce n'est pas ma priorité, d'abord le couché de soleil et ensuite on vera. Elle est venue me chercher. Alors j'y vais et ça a été très rapide, car le reste des restes du midi, autant dire que j'ai mangé une assiete de spaghetti et un peu de salade et puis c'est tout. Excellent pour ceux qui veulent faire le régime. Donc j'ai pu retourner à mon couché de soleil qui lui n'était pas encore fini. Pour le reste de la soirée exactement meme programme que la veille.

A bord il y a un bar sur le 3eme pont. La barmed est excellente dans son style. Déjà les clients c'est pas sa priorité. Elle enchaine cigarettes sur cigarettes et joue aux dominos avec les passagers. Dans le meme temps elle fait office de DJ et nous met tout genre de musique brésilienne aussi fort que possible, comme en discothèque au cas ou les passagers seraient un peu sourd. Heureusement on n'entend que tès peu ce vacarne sur le pont inférieur ou sont suspendu les hammacs.

Avant 19 heures extinction des feux. Sur le pont des hammacs, les lumières sont éteintes pour dormir. Et oui on se couche plutot que les poules en Amazonie. Ne pouvant plus lire, je me résoud par écouter un peu de musique et puis dormir comme la plus part des passagers.

Tranquillement, ce matin je me prépare à prendre un bateau lent pour 48 heures de trajet sur l'Amazone en direction de Manaus. Je suis allà acheter des bananes et de l'eau ne sachant pas trop ce que je vais trouver à bord.

Dehors il fait toujours aussi chaud,`déjà plus de 30 degrès. Pour aller jusqu'au dock, je prends un taxi, car 2,5 kms avec mon chargement sous un soleil de plomb, non merci. J'arrive au bateu très tot, enfin 4 heures avant le départ. Pour avoir les meilleures places pour suspemdre son hammac, loin du moteur et des toilettes, il est préférable d'arriver plusieures heures en avance.

Il y a déjà 4 personnes qui sont installées. A bord, 2 "hotesses" (qui vont se transformer en cantinières plus tard) aident les passagers à s'installer et choisir l'emplacement du hammac. Etant là bien avance, j'ai donc une très bonne place. Pendant les heures suivantes, les autres passagers vont arriver au compte goute. Finalement l'heure du départ arrive et on ne part pas. On va partir avec une heure de retard. Vu la longueur du trajet c'est vraiment qu'un détail.

Sur le bateau tout le monde commence à s'organiser son petit coin et faire connaissance. Je suis le seul étranger à bord. Rapidement les enfants viennent me voir et forcément me parler. Ils ont du mal à comprendre que je ne les comprends pas ou très mal. Le plus agé va s'essayer timidement à quelques mots d'anglais.

Le couché de soleil s'annonce rapidement (17h25) et dans le meme temps c'est l'ouverture du r´fertoire qui est vivement annoncé par une de deux cantinières. Oui oui, ici on mange très tot. C'est vraiment étrange pour moi.  Pour ma part je m'attache à faire de superbes photos du couché du soleil sur l'Amazone. Puis je vais voir de plus près à quoi ressemble le festin du soir !

Petit détail très important il faut emporter son hammac qui fait office de lit et de siège, et oui c'est comme cela pour les voyages en bateau sur l'Amazone. Puis j'ai fait quelques courses afin d'emporter des trucs à manger au cas ou les repas sur le bateau soient difficile. Si je me réfaire au Lonely Planet Brésil, les repas sont un mix de riz, d'haricots et d'un peu de viande et il semblerait que les restes du midi sont pour le soir, à voir. Puis l'essentiel, j'ai acheté un hammac. Rien de plus facile, sur la place de l'èglise de Santarem, il y a plusieurs marchands, il suffit de faire son choix de qualité et de couleur. J'en ai pris un simple de qualité intermédiaire.

Le couché de soleil sur l'Amazone c'était pas pour ce soir. L'horizon était très nuageux. Par contre sur la promenade le long du fleuve touts les sportifs de la ville se sont donnés rendez-vous. Le soleil ayant disparu, la température est plus basse de quelques degres. Alors ça fait du jogging en quantité et aussi de la musculation avec les obstacles mis à disposition. On retrouve ce genre d'installation sur tous les bords de fleuves ou de mer.

Ce matin je suis allé à la poste. Oui, oui j'ai envoyé une dizaine de cartes postales. Et non, pas à tout le monde ! Pour faire le montant total du timbre il a fallu 4 timbres differents. Dans ces conditions il n'y avait pas assez de place sur les cartes. Bref on a bien rigolé cinq minutes avec la postière qui a voulu coller les timbres elle meme. Je l'ai aidé afin d'aller plus vite.

Puis c'était l'heure d'aller à l'aéroport pour prendre l'avion pour aller à Santarem, en plein milieu de l'amazonie. Trop facile, j'avais repéré l'arret du bus qui passe á coté de l'aéroport hier. Comme je sais ou il faut descendre, j'avais aussi reéré hier en quittant l'aéroport en taxi. Resultat en 40 minutes j'y étais et pour 12 fois moins cher qu'en taxi.

J'ai pris le meme vol que la veille, celui qui fait Recife-Manaus avec 4 stops. On est arrivé à Santarem à l'heure. Attention changement de fuseau horaire, je m'enfonce vers l'ouest du Brésil, donc maintenant j'ai 6 heures de décallage avec la France. L'aéroport de Santarem est vraiment tout petit, on descend sur le tarmac et il y a un tout petit tapis pour la livraison des bagages. Tout comme à Belem, le soleil tape fort et il fait 34 degres. L'aéroport est en plein milieu de la foret à 15 kms de la ville.

Santarem est sur le bord du fleuve Amazone. Plus exactement ou le fleuve Tapajos rejoin l'Amazone. C'est une petit ville et ça fait un peu plus farwest que Belem. Les touristes ici, j'en ai pas vu. A l'hotel que j'ai selectionné en fait il a plutot changé de catégorie et impossible de négocier, enfin on veut bien m'accorder une réduction de 0,80 euros ! Alors je vais voir ailleur, le deuxième est plein et le troisième, a plutot l'air d'etre vide, mais 2 fois moins cher que le premier et suffisament correct pour une nuit.

... Pour finir ma promenade, je suis arrivé au niveau des Docs qui viennent d'etre transformés et promenage de luxe avec exposition d'art et restaurant. Je vais pas dire l'accès est controlé, mais très surveillé. Là aussi, une bonne image du Brésil, à la fois riche et dynamique et encore en arrière par rapport à l'eurpe de l'ouest. Le contraste pauvre/riche est très fort, rien qu'à voir les favelas à la TV ou comme j'ai aperçu de loin en arrivant à Salvador et à Recife loin en banlieue. Donc j'ai mangé en toute tranquilité aux docs. Juste sur le bord de l'Amazone avec un petit vent et de la bosa nova en fond musical, sans oublier les cargos qui montent et descendent le fleuve.

... En fin d'après midi j'étais sur le bord du fleuve, il y a un marché, quelques bateaux de pecheurs et une promenade. Alors que je faisais des photos d'oiseaux, un type m'aborde pour me proposer un tatouage. Je lui dis non merci, alors il me demande de l'argent pour manger, tu parles pour acheter de l'alcool ou de la drogue, c'est connu de tous ici. Je refuse gentillement et reviens à mes photos. Celui-ci pas content m'a visiblement insulté de tous les noms en portugais et comme j'y comprends rien, c'était pas mon probleme. Puis quelques secondes plus tard un projectile m'a sifflé aux oreilles. Il venait de me lancer une pierre dessus, mais a raté sa cible. Heureusement plein de petit marchands sur le trottoir ont assistés à la scene et l'ont empéché de recommencer en me faisant comprendre qu'ils avaient vu se qu'il c'était passé. Et la police ou elle est ? Autant il y a une présence policière très forte dans les rues et encore plus dans des secteurs plus touristiques. Mais là ils étaient un peu plus loin et regardés bein sur dans le sens opposé.

Ne restons pas sur une mauvaise impression, puisque une demie heure plus tard, j'ai été accosté par unn gamin qui voulait que je fasse des photos de lui pour le plaisir. Il était entrain de boire un jus de fruits frais avec sa soeur et sa grand-mère. Voilà à tout instant tout peut arriver, le pire comme le meilleur.

Dur dur, levé à 4h30 ce matin. C'est la première fois au cour de ce voyage que cela m'arrive. Jusqu'à maintenent j'ai eu des horaires imposés assez cool. Je ne parle pas des bus de nuits, qui d'une certaines façon sont une bonne solution pour économiser du temps et un peu d'argent.

A 7h05 j'ai un avion pour aller à Belem dans le delta du fleuve Amazone. Je passe les détails de l'hotel ou ils controlent ma chambre avant que je parte, comme si j'allais voler une serviette de bain ou un coussin ! Le taxi réservé était là. Il a profiter des autoroutes et grandes avenues de Recife complètement déserte pour se prendre pour Fangio ou Senna. C'était meme limite et les feux rouges, euh, à mon avis il devait etre daltonien. Mon ami Ricardo à Rio fait pareil quand il n'y a pas de circulation, visiblement passer au rouge n'a pas l'air ´'etre un réel probleme par ici.

J'ai pris un vol avec TAM, la compagmie nationale brésilienne. C'est un vol Recife-Manaus avec escale à Fortaleza, Sao Luis, Belem et Santarem. Un vrai omnibus aérien, trois décollages et atterissages en 4 heures. C'est cette meme ligne que je vais reprendre pour aller jusqu'à Santarem, c'est pourquoi j'ai décidé de faire un stop d'un jour à Belem.

Belem, c'est un mélange d'ancienne ville coloniale, de batiments vieillisants et pas entretenus de petites tailles et bien sur des buildings d'au moins 20 étages, le tout complètement désorganiser dans un ordre que je n'ai pas encore compris. La ville est sur une rive du fleuve Amazone, que j'ai survolé avant l'atterissage. C'est un tr`s grand port de marchandises qui alimente toute l'amazonie, au moins jusqu'à Manaus.

Aussi, je suis à 150 kms de l'équateur et le soleil ici, c'est du concentré. Dès qu'il sort de derrière un nuage on a l'impression de griller sur place. Aujourd'hui il a fait 31 degres avec 80% d'humidité. Il parait que Belem est la ville la plus arrosée au Brésil, dans l'après-midi j'ai eu droit à deux très fortes averses de 5 minutes chacunes.

Le soleil est au rendez-vous un jour de plus, tout comme les guides d'Olinda qui attendent devant les pousadas et les hotels. Après la visite d'une église ouverte que le matin, je vais à Recife.

J'ai donc pris un bus qui m'a laissé juste ou je voulais. Rappellez vous je commence à maitriser le système des bus au Brésil. Rien de très compliqué, seulement organisé un peu differement qu'en France et heureusement. Disons que pour moi ça me parait un peu brouillon. Dans Recife il n'y a pas grand chose à voir. Juste prendre la température et l'atmosphère de la ville. J'ai trouvé une partie du centre du vieux Recife et des rues piètones et commerçantes. Puis je suis aller au sud de Recife, sur le bord de mer. Il s'agit de Boa Viagem avec sa très longue plage bordé par des buildings dépassant parfois 30 étages. Il n'y a pas grande foule sur la plage car on est en semaine et puis j'y suis arrivé vers 15h00, ce qui est déjà tard. Il y a une promenade tout le long de la plage ou les gens font du jogging et de la gym. Bien sur on retrouve les bars de plage et par endroit il y a aussi les sauveteurs qui surveillent.

Cette plage est en partie interdite à baignade car il y a déjà eu plusieurs attaques de requins. Et oui les dents de la mer c'est pour de vrai, meme au Brésil. Une partie de la plage est protégé par un petit récif qui je pense empèche les requin de s'approcher jusqu'au bord et permet aux gens de patoger sur une vingtaine de mètres.

... Il y a bien des immeubles plus haut les uns que les autres dipersés un peu partout. Recife semble un peu décousue. Je verai mieux cela demain car je vais y passer la journée.

A l'hotel j'ai du négocier pour faire baisser le prix. Comme c'est loin d'etre plein c'est assez facile. Et puis je voulais rester à celui là aussi, car il y a une piscine dans un petit jardin assez sympa, en plus j'ai droit à un grand lit, cool !

J'ai du attendre plus d'une heure avant d'avoir la chambre. C'est aussi le jour de lessive, car après 10 jours je n'ai plus grand chose à me mettre de propre.

Olinda est une jolie petite ville sur le bord de l'océan. La plage est minuscule et soit disant que l'eau n'y est pas toujours très propre. Il ya des bars de plage et ils ont la musique à fond les décibels. Pour le reste il y a plein d'églises et couvent à visiter et puis les rues sont petites et tortueuses avec des maisons de toutes les couleurs.

Le problè d'Olinda, c'est les dizaines de guides qui sont à tous les coins de rue. En 5 heures au noins 12 on essayer de me vendre leur service. Surtout que normalement ils ne doivent pas demander d'argent, alors que le tarif débute vers R$ 45-50 (15 euros). En négociant je ne sais pas àq combien on peut descendre, au moins la moitié. Personnelement il n'est pas question de payer qui que ce soit pour faire le tour de la ville et visiter les églises. Les explications je les ai déjà dans mon guide de voyage. En plus tout ce joli monde se dit parler français ! "bonjour, comment ça va, ça va bien" et puis plus rien, enfinsi le portugais reprend le dessus, j'en sais plus en portugais.Comme partout dans le monde ils connaissent 2 phrases de français afin de se faire remarquer. Un seul parlait vraiment français courament. Je vous cache pas que je suis un peu fatiguer d'avoir dit NON toute la journée. 17h10, il fait déjà nuit et toujours aussi chaud et humide. Un petit plouf dans la piscine va etre le bienvenu. 

Arrivée ce matin à Recife après une nuit pas terrible en bus. Normalement c'était la dernière. Le problème, c'est que j'ai eu froid toute la nuit alors qu'il fait très chaud ici. La climatisation, je vous le dit quelle invention ! Quand c'est utilisé intelligement c'est bien. Alors le bus de cette nuit c'est pas compliqué, la clim dans le bus à 17 degrés alors qu'à l'extérieur il faisait 26-27 degrés ! C'est sur on a droit à une couverture dans le bus comme en avion. Mais pour ma part c'est pas suffisant surtout quand l'air FROID arrive sur le visage. Ma voisine est allée voir le chauffeur pour se plaindre, mais il n'a rien fait et plein de gens ont toussés tout le trajet et éternué des dizaines de fois. Seulement on dirait que c'est normal ici !  Donc j'ai mis mon blouson sur ma tete pour me protéger. Puis plus tard je me suis mis le blouson dessus car la couverture n'était plus suffisante. Total des courses, mon nez coule comme une fontaine depuis ce matin. Enfin ce soir c'est mieux car dehors toute la journée à plus de 30 degrés c'est plus agréable. Mais c'est une chaleur difficile car le soleil tape FORT, je suis proche de l'équateur et il fait très humide, bref un vrai climat équatorial comme je l'ai rencontré à plusieur reprises en Inden et en Asie du Sud Est.

Donc pour aller de la gare routière, à l'ouest de Recife jusqu'à Olinda au nord de Recife, j'ai d'abord pris le metro de Recife (sorte de train de banlieue} jusqu'au centre de Recife. Puis il a fallu trouver le bon bus pour aller à Olinda. En fait très simple comme indiqué sur mon guide et j'ai presque pas attendu le bus. Le centre de Recife au niveau de la gare Centrale du metro, c'est un peu bizarre, car on se croirait pas dans une grande ville de presque 3 millions d'habitants. Ou sont les building ? En fait dans le quartier tout semble en moitié en ruines avec les trottoirs en partie défoncés, un peu comme dans certaines villesd'Asie.

Plus loin sur la plage il y a une compétition de surf. De jolies vagues permettent aux surfers de montrer leur talent. OUI OUI les bikinis sont tout petit pour certains, meme minimaliste.  Les peaux sont bronzés voir meme noires, car ici la majorité de la population descend de l'époque de l'esclavage. Il y a aussi une tr`s grande mixité et on peu croiser des Brésiliens tr`s foncé de couleur de peau, quasiment noir et avec les poils et/ou les cheveux blonds/blonds foncés.

Retour  dans le centre de Salvador pour quelques photos d'un magnifique couché de soleil. Puis j'ai récupéré mon sac à l'hotel et pris un bus pour la gare routière. Le réseau de bus de Salvador n'a plus de mystère pour moi ou presque.

Encore une journée difficile qui s'annonce. Petit déjeuner avec vue sur la baie de Salvador et bien sur le soleil tape fort déjà depuia plusieurs heures (levé à 5h30 et couché à 17h30), alors photo du couché de soleil obligatoire ce soir, surtout que c'est le seul endroit au Brésil de voir le couché de soleil sur l'océan atlantique.

 Le programme du jour, assez simple, aller à Barra sur les premières plage au nord de Salvador. Comme c'est dimanche il va y avoir du monde. Première opération trouver le bon bus. Finalement au début c'est simple, je sais ou est un des arrets principaux de bus du centre. Puis il y a plusieurs lignes qui vont à Barra. Mais au bout d'un petit moment je me demande quand un bus pour Barra va passer. A cet endroit la rue est en sens unique en tous les cas pour les bus. En observant de plus pret sur les bus leurs trajets, je m'aperçoit qu'ils passent pas forcément au meme endroit dans les deux sens ! Il ne reste plus qu'à demander. Encore faudrait-il que quelqu'un me comprenne ou essaye de me comprendre. Finalement on me montre ou se trouve l'arret de bus dans l'autre sens pour Barra. C'est à une centaine de mètres à travers les buildings du quartier Commercio, ou il y a que des bureau x et comme c'est dimanche, c'est complètement abandonné et desert. Mais je ne suis pas le seul à attendre pour le bus. Tous les bus pour la plage sont plein. La foule converge vers une journée de farnient´e au soleil du nord du Brésil..

... Ce soir, il a simplement suffit suivre le son de la musique dans les bars et surtout dans la rue pour tomber sur un groupe filles qui jouaient de la musique afro avec toute sorte de tambours. Il y a quelques rues ou c'est vraiement très fort et les gens descendent dans la rue pour danser. Mais vaut mieux ne pas trop trainer, car il y a toujours autant si ce n'est pas plus de mediants et autres gamins à surveiller pour vous voler.

A l'hotel qui est juste sur la place comme par hasard, le tarif est toujours de R$ 25. C'est dans un très grand appartement au 7eme étage avec terrasse et vue sur la baie de Salvador. Si l'immeuble est absolument horrible de l'extérieur, l'intérieur est Ok, avec un groom pour appuyer sur les boutons dans l'ascenseur.

Après le petit déjeuner et une belle averse, je débute la visite du centre historique de Salvador. C'est très interressant et surtout très coloré, les maisons batiments sont de toutes les couleurs. Il y a des églises partout. Le centre historique est situé sur une petite coline. En contrebas, la ville nouvelle et ses bureaux et les docs. Il y a aussi le marché, pour les touristes et son bar-restaurant qui est bondé en ce samedi après-midi. La musique est à fond et il y a une séance de capoeira. Petite équipe avec qui je me suis gentillement accroché car ils auraient tendance à demander de l'argent pour chaque photo ! J'ai donné quelques R$ alors que j'était assis entrain de boire un verre, alors il n'y a pas de raison de payer encore et encore.

C'est terrible c'est centre touristiques, surtout dans des payes ou la misère est importante. On est toujours à essayer de vous réclamer de l'argent.

Arrivée à Salvador ce matin vers 7 heures après 12 heures de bus. Et oui c'est possible et en plus ça se fait facilement avec du confort. Ok, c'est moins bien que son lit, mais moi je peux dormir partout sans problème. Bon une fois encore c'est un bus Executivo, genre 1ere classe avec siège super inclinable, couverture et coussin comme en avion long courrier et films, mais en portugais brésilien uniauement, alors merci encore Air France et son masque pour etre dans le noir total et encore mieux dormir.

La gare routière de Salvador est immense, normal ici il y a 2,5 millions d'habitants. J'ai acheté mon billet pour aller à Recife et encore une fois pas le choix, bus de nuit uniquement, domage pour le paysage le jour. Pour rejoindre le centre ville à 8-9 kms de là il y a le choix entre le taxi à R$ 15-20 ou R$ 2,5 en minibus climatisé (R$ = real). Trop dur le choix ! aurevoir les taxis. J'ai un peu de mal pour trouver mon bus, mais il y a des gens qui donnent les infos aux 2 immemses arrets de bus ou c'est un défilé de bus permanent pour toutes les directions de la ville et de la banlieue. Mais les chauffeurs de taxis ne sont pas loin et pas moins de 3 sont venus essayer de me chercher pour prendre un taxi à la place du bus. Alors ça commemce avec un long "blablabla" et puis je dis NON et à nouveau "blablabla", alors je dis "no entendo" = je ne comprends pas alors j'ai droit à un "blablablablablabla" bien sur toujours en portugais, inutile de dire que j'y comprends absolument rien. Donc ma reponse finale est "Nao Taxi, obrigado" = Pas de taxi, merci.

Et là je suis débarassé. Alors le portugais, j'y connais rien et par defaut je ne comprends rien. Sauf qu'avec mon pauvre espagnol que je comprends assez bien, mais que je parle que très très mal, le portugais quand je connais le contexte je comprends des morceaux assez bien. Mais quand ça m'arrange je comprends absolument rien, trop facile de faire le naif !

... Puis je suis parti prendre le bac qui permet de traverser la riviere pour aller jusqu`a Arraial d`Ajuda. C`est que se trouvent les plages sud de Porto Seguro. Il s`agit d`un petit village a 4-5 kms de Porto Seguro qui c`est transforme en village de vacances initie par une vague d`hippis.

En 1980, 890 familles avaient l`electricite. Aujourd`hui il y a plus de 10 000 personnes qui vivent dans la region. Les chemins qui menent aux differentes plages sont bordes de pousadas, d`hotls, de bars et de restaurants. C`est tres tres calme, basse saison oblige. Sur la plage seuls quelques bars de plage sont installes et c`est quasiment desertique. Les prix pratique ici sont comme a Porto Seguro, donc plutot cher, il est difficile de manger un repas normal a moins de 15 euros !

Il parait que ces plages font parties de splus belles du Bresil. Moi je trouve que c`est moyen, a voir du cote de Salvador et de Recife ce que cela va donner.

Chemin inverse, pour rejoindre le bac j`ai pri un combi, vous savez le petit fourgo Volswagen des annees 60-70. Il va falloir que je me renseigne s`ils n`en fabriquent pas encore. Il y en a, a tous les coins de rue. C`est pire que la coccinelle dont la fabrication c`est definitivement arrete en dernier au Bresil il y a peu, bien apres que la New Beetle se vendent en Europe et aux USA.

En allant chercher mon sac a l`hotel, je m`arrete acheter quelques bricoles pour manger dans mon bus de ce soir. Puis direction la gare routiere, 25 minutes de marche a pied, encore une fois les locaux ne comprennent pas ces europeens qui veulent toujours marcher. A la gare de bus la salle VIP m`attend. Et oui cette fois encore j`ai droit d`acces a la salle VIP car c`est la meme compagnie de bus qui va jusqu`a Salvador, que celle qui venait de Vitoria. C`est cool, je peux me changer et me rafraichir.

A mon arrivée déjà à la gare routière la couleur était annoncée. A peine descendu du bus, on m'aborde pour l'hotel, heureusement il n'y a qu'une personne. Je me souviendrai toujours´`a Pisco au Pérou ou ils étaient au moins une dizaine à me crier dessus pour me vendre une chambre d'hotel. Le prix il m'annonce 30 reais, alors je fais la grimace et on passe à 25. De toute façon ça ne vaut pas plus, meme s'il y a une piscine et le mini-bar dans la chambre dont je me fiche totalement. Le petit déjeuner d'aujourd'hui c'est 5 reais car pas compris dans le prix, ce sera celui de demain. Puis il me dirige vers les taxis ! Oh du calme, je vais d'abord me renseigner sur les bus pour Salvador de Bahia. Il n'y a qu'une compagnie qui fait le trajet et de nuit uniquement. Donc je vais rester ici 2 jours car une nuit dans un lit sera la bienvenue et puis avec les bus locaux il est facile d'aller dans un autre village pas loin d'ici. Enfin Taxi taxi, quelle prise de tete. Bref j'ai pris son taxi à peine négocier, j'aurai pu faire le trajet à pied, mais à 7 heures du matin et sans parler portugais, j'ai laissé faire.

Ce matin, je ne traine pas. Apres le petit déjeuner, direction la gare routière pour acheter le ticket pour aller à Porto Seguro, vers le nord. Il y a un bus en milieu de journée ou bien le soir (bus de nuit). Je prends l'option bus de nuit afin de voir un peu aux alentours comment c'est et puis ça fera une nuit d'hotel en moins.

Je reviens dans la vieille ville de Vitória pour y visiter les 2-3 monuments á voir, comme l'église principale et le théatre aui est une répliaue de la Scala de Milan. La ville se situe sur le bord de la baie de Vitória. Il y a pleine de gros cargo qui sont là pour décharger leur cargaison.

Après avoir rendu la chambre, je vais jusqu'aux plages de Vitória. J'y vais´`a pied, c'est juste 2-3 kilomètres. La plage de Canto est toute petite et rien de terrible. Plus au nord il y a la plage de Camburi. 5 kms de sable bordés dans un preçier temps par des palmiers et des cocotiers, puis par des tours d'habitations et des hotels d'au moins 15 étages. La plage est déserte. Meme certains des bars de plage sont fermés (il y en a une vingtaine en tout).

A 21h00 j'ai mon bus pour Porto Seguro. La compagnie qui va à Porto Seguro a une salle d'attente VIP et j'ai droit d'access, probablement car je suis étranger. Bref, ils ont essayer de faire comme les salons des compagnies aériennes dans les aéroports. C'est sur c'est cool, il y a de quoi boire, des magazines et la TV en portugais, super ! et des toilettes privés le tout avec une charmante hotesse.

Le bus, c'est un vrai Executivo (premiere classe) avec siège très inclinable et beuacoup de place pour les jambes. Ce qu'il manque c'est des sièges un peu plus larges, ou alors je suis trop large des épaules et pourtant je ne suis pas gros.

Ce matin je leve plutot que prevu. Et oui une fois encore j'en rate pas une. Hier soir quand j'ai rangé toutes mes affaires en quelques secondes, j'ai completement oublié que j'avais mis mon lecteur Mini Disc sous l'oreillé, pourquoi là, je ne le sais toujours pas.

Bref, je m'en suis rendu compte hier soir avant de me coucher et Sergio a téléphoné à l'hotel. Ils ont trouvés mon MD et veulent que ce soit moi qui passe le prendre et personne d'autre. Alors j'ai pris un taxi jusqu'à l'hotel. Puis je suis allé à la gare à pied, 15 minutes environ.

Exceptionnellement j'ai acheté un billet de première classe. Finalement c'est pas un luxe, car la première ici est pas mieux que la seconde dans les nouveaux TGV duplex. Le petit plus c'est qu'on sert des boissons et a manger à la place tout le long du voyage. Quand il y a 12 heures de voyage qui se sont transformées en plus de 13 heures, ça me parait etre un minimum.

Pour ma part je suis plus adepte de la voiture restaurant. C'est rare de voyager en train et de passer du temps dans une voiture restaurant avec le meme service qu'au restaurant. C'est meme plaisant et accentu le plaisir de voyage en train surtout dans des pays lointains.

Comme la climatisation est à fond et froide, je vais passer une partie du voyage entre deux voitures ou les fenetres des portes sont ouvertes. Idéal pour faire des photos. 

Sergio est venu me chercher a mon hotel avec sa femme et sa fille. En route il me propose de passer la nuit chez lui, Le probleme c'est aue j'ai toutes mes affaires a l'hotel et que mon train le lendemain est a 7h30. En fait Sergio est plus qu'etonne que je sois dans un hotel dans le quartier non loin de la gare de bus, car c'est tres dangeureux, surtout la nuit. C'est pourquoi il prefere me savoir chez lui en tout securite. Alors on fait demi-tour pour aller chercher mon sac a dos. Avec sa femme et5 sa fille ils habitent un superbe appartement duplex avec balcon et tres grandes terrasse. On dine ensemble et de ce fait Sergio en profite vivement pour pratiquer son français, aui est excellent. Surtout qu'en plus il n'est jamais venu en France. Sergio eat anesthesiste et sa femme specialiste dans les maladies du sein.

Je tiens a m'excuse pour l'oubli des accents sur les lettres et parfois certains mots un peu bizarement orthographie. Ici le clavier est en portugais bresilien alors il fau s'habituer et oublier les accents a la française sur les mots.

Aussi les cafes internet ne sont pas a tous les coins de rue, donc parfois je ne pourai pas me connecter pendant plusieurs jours.

Un petit dejeuner copieux dans le ventre sur terrace avec vue sur une partie de Ouro Preto c'est pas mal pour commencer la journee.

Je vais prendre un bus pour aller a Belo Horizonte qui est a seulement 2 heures de Ouro Preto. La route se fait dans la montagne car de 1 200m je vais descendre a 850 m d'altitude environ.

En arrivant a BH enfin le soleil montre le bout de son nez. BH est une tres grande ville avec 2,5 millions d'habitants, ça change d'Ouro Preto qui est plus qu'un village. Ici il n'y a rien a voir, mais c'est une etape obligatoire pour prendre un train, chose tres rare au Bresil. Et un voyage sans prendre le train c'est pas la meme chose. Donc 15 heures de train pour revenir sur la cote atlantique et commencer la remontee des plages jusqu'a Recife au nord. J'ai achete mon ticket pour demain matin. Puis j'ai fait un tour dans BH, qui est plutot moderne avec des grattes ciels partout, je crois que c'est le truc des grandes villes bresiliennes. Ce soir je vais peut-etre rencontrer Sergio un ami de Ricardo qui habite ici et qui parle tres bien le fraçais de ce que j'ai pu entendre au telephone, il est medecin.

Je suis alle visiter une des plus importante mine d'or, qui n'est plus en activite. Mais elle reste en partie ouverte au public pour visiter quelques galleries et pour faire aussi de la plongee sous-marine en grotte dans les nombreux lacs naturel, C'est dans un espece de petit charriot accroche a un cable qu'on descend au premier niveau de gallerie a 120 m sous la terre.

En soiree en essayant de mettre la main sur le seul cafe internet qui etait ferme, j'ai assiste a un entrainement de Capoeira. J'espere approfondir le sujet a Salvador de Bahia.

Si dans mon guide il est mentionne que le soir les restaurants et bars de la rue principale sont animes, eh bien ce soir rien du tout, tres tres calme. De toute façon j'ai des heures de sommeil a recuperer.

Bonjour à tous, me revoilà sur le blog après une très longue absence.

Cette fois je vais essayer de me connecter le plus souvent possible pendant mon voyage au Brésil afin de vous raconter mes aventures.

Départ vendredi 16 septembre vers 23h00 pour une longue nuit d'avion.

Mon sac n'est toujours pas fait !...

Vive le Perou

Et oui je suis au Perou en ce moment pour plus de 3 semaines de vacances. J ai quitte Lima ce matin. Pas tres interessant. Maintenant je suis a Pisco au bord du Pacifique au sud de Lima. Les gens sont sympa et mon espagnol se reveille petit a petit. La meteo est clemente et j ai meme pris un petit coup de soleil a Lima hier.

INCROYABLE !

Je suis toujours en Suisse, il est plus de 23h00 et il fait 19°C dehors. Quand on sait que ce matin c'était 8°C avec de la pluie. Par ici ils ont un epèce de micro climat proche du lac de Constance. amazing non ?

On est tous avec non manteau d'hiver, ridicule.

Encore un truc de plus sur internet. Comme si j'en avais pas assez déjà de tous mes sites sur mes voyages ? Le portail Blog Orange es-ce le bon choix ? il va bien falloir que test d'autres portails de Blog. Bref je débute dans cet univers alors soyez indulgent sur le contenu fébrile de mon blog.